Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 avril 2014 3 23 /04 /avril /2014 10:32

La venue d’un bébé  dans le cercle familial est si précieuse, qu’un tel événement ayant reçu la caution du Trait-Haut, doit être fêté avec faste. Ainsi voir autour de soi certains bébés abandonnés dans la rue nous donne des maux de cœur. Et pourtant régulièrement, il y a des femmes qui jettent, incognito, leur bébé dans la rue, peut-être parce qu’elles n’ont aucun soutien pour s’occuper de lui. Le géniteur ayant pris la poudre d’escampette, quand il s’est rendu compte qu’il ne pouvait en prendre la responsabilité ! Quel monde dans lequel nous vivons se moquant éperdument de la vie du pauvre petit innocent ? Passée  l’étape de l’émotion devant une telle situation, nous ne pouvons faire plus que remuer notre tête en guise de mécontentement. Pourquoi ces femmes qui jettent ainsi leur bébé dans la rue ne prennent-elles pas attache avec les services sociaux existant dans leur pays,avant de faire quoi que ce soit ? Ne savent-elles pas qu’il y a des femmes comme elles qui en cherchent ardemment, parce que n’ayant pas eu la grâce de la maternité ? Demain un autre bébé innocent connaîtra encore le même sort…Tirons sur le bouton d’alarme, en lisant l’histoire qui va suivre !

 

Un jour, me promenant dans les coins et recoins du quartier populaire d’Abobo, une des dix communes faisant partie de la ville d’Abidjan, je fus attiré par un attroupement du côté du quartier Sogefiha, tout précisément les quatre bâtiments qui sont plus connus sous le nom de «4 Etages ».  Non loin de là, il y a un gros trou menaçant de couper la route en deux, si les autorités n’y prennent garde. Ce gros trou, rien qu’à y jeter un simple regard, donne le vertige, à plus forte raison s’approcher de lui. En m’approchant de la foule,je cherchai à savoir ce qui pouvait entraîner un tel attroupement, et, ô !avec quelle stupéfaction !, j’appris que c’est un bébé qui avait été jeté dans le trou par une femme. Cette femme, profitant de la discrétion du petit matin, de passage à côté du trou, a préféré ainsi se séparer de lui au lieu d’avoir en permanence une telle  charge sous la main. Drôle de manière de résoudre un problème par un autre plus grave : le crime d’un bébé innocent !

 

Il est plus que jamais impératif que toutes les ONG s’occupant des droits des enfants dans le monde, se penchent sérieusement sur ce genre de cas, en poursuivant, si possible, les personnes qui se sont montrées coupables de tels crimes devant les tribunaux, afin d’amoindrir l’ardeur de celles et "ceux" qui sont tapis dans l’ombre et qui n’attendent qu’une seule manque d’attention de leur entourage immédiat pour passer à l’acte.

 

Constant Ory

Partager cet article
Repost0
19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 08:03



t A tous  mes amis de Facebook et d'ailleurs, j'ai le plaisir de vous annoncer ce jour  la sortie de mon œuvre  intitulée "De la guerre à la réconciliation..." aux éditions  www.thebookedition.com.
RESUME 

« De la guerre à la réconciliation..." est un livre qui essaie de faire une multitude de propositions à l'ensemble des politiciens ivoiriens et à la population dans son entièreté, après la guerre post-électorale. Comment éviter de retomber dans les mêmes erreurs qui ont conduit le pays à cette bestialité ? Chaque acteur ivoirien, quelle que soit son idéologie politique, doit absolument prendre connaissance de son contenu.
Constant A. Ory qui est auteur de plusieurs œuvres parues à Edilivre, dont "Prisonnier du tourbillon de l'amour" est son premier roman, en faisant ainsi une incursion dans le domaine politique, veut apporter sa pierre à l'édifice national.


Le livre Le livre Acheter

Partager cet article
Repost0
15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 19:58

009.JPG

008.JPG

 

 

 

 

 

 

"Contribution à la réconciliation et à la paix en Côte d’Ivoire"

 

 

 

 

 

007.JPG

 

 

 

 

CEREMONIE D’INVESTITURE  DE

L’ONG DIASPORA CEDEAO SECTION COCODY

 

M. ILUPEJU TIDJANI ABO

UBAKAR,

PRESIDENT DE LADITE SECTION

 

Le samedi 13 Octobre 2012, l’ONG Diaspora CEDEAO a installé sa section de Cocody. Les communautés des 15 Etats constituant cette ONG sont venues         massivement pour apporter leur soutien à M. Ilupeju Tidjani Aboubakar, qui la représente dans cette commune. Le président national et fondateur de ladite ONG, Don Alexander, n’a pas manqué de prodiguer de bons conseils à ce nouveau pèlerin de la paix,  en l’exhortant au travail, c’est-à-dire la mise sur pied de stratégies pour amener les habitants de la CEDEAO de sa commune, à la réconciliation.  Pour l’occasion, une attestation a été remise au Président de l’ONG Diaspora CEDEAO Section Cocody, Ilupeju Tidjani Aboubakar, en guise de feuille de route.

         M. Ilupeju Tidjani Aboubakar, cet homme de paix, ayant une grande ouverture d’esprit, saura mener à bien son mandat, pour une Diaspora CEDEAO encore plus forte.  

 

Source : L’Inter N° 4321 du Mercredi 24 Octobre 2012, Article de Sébastien Kouassi.  

      

 

   

004.JPG

 

002.JPG
   

003.JPG005.JPG

006.JPG

001.JPG

         
 

 

 

Partager cet article
Repost0
12 août 2012 7 12 /08 /août /2012 16:38

Constant Ory, l’écrivain de l’espoir



De-la-nuit-au-jour.jpg



L’auteur Constant Ory vient de publier un recueil de nouvelles sous la bannière d’Edilivre. Après l’anthologie des plus beaux poèmes d’Amour de la Saint Valentin « Tendresse et Passion », des Editions L’Encre Bleue, un collectif de 26 poètes francophones, sortie le Samedi 18 Février 2012, dont il fait partie, ce deuxième ouvrage vient sûrement confirmer un talent latent qui va aller en crescendo dans l’univers de la littérature ivoirienne… 
La Culture Plurielle : Vous  venez de signer un recueil de nouvelles  De la nuit au jour… ou la Vie d’une analphabète devenue une femme de renom chez Edilivre. Pouvez-vous nous parler un peu des thèmes abordés  dans vos trois nouvelles ?
Constant Ory : D’abord, permettez que je dise un grand merci au Fondateur des Editions Edilivre, François Guilmoto ainsi qu’à toute cette belle équipe qui ne cesse de redorer l’image de cette maison d’avenir… Mon recueil de nouvelles De la nuit au jour… est effectivement composé de trois nouvelles dont De la nuit au jour… ou la Vie d’une analphabète devenue une femme de renom, Un amour rose-bleu et Une richesse sans issue. Dans la première nouvelle, je veux mettre l’accent sur le fait qu’on peut partir de rien pour devenir un homme de référence dans la sphère terrestre. Les symboles Nuit et Jour peuvent ici être interprétés comme l’obscurité et la lumière. Chacun de nous plus ou moins est passé par cette étape à l’instar d’Aya Angeline qui est partie de son état d’analphabète pour devenir une femme lettrée. La deuxième nouvelle, quant à elle, à travers l’histoire sentimentale entre Paulin et Aline nous démontre que le vrai amour existe toujours, cet amour offert par Dieu qui traverse toutes les frontières. Et enfin la troisième nouvelle, Une richesse sans issue éclaire le lecteur sur la relativité de la richesse à travers le chemin épineux emprunté par Yao !
La Culture Plurielle : Quel message voulez-vous  transmettre à vos lecteurs à partir de vos œuvres ?
Constant Ory : Mes écrits tournent toujours autour de la dualité. Je veux amener mes lecteurs à comprendre que, où il y a la vie cohabite la mort ; la haine, l’amour ; la pauvreté, la richesse ; le désespoir, l’espoir...
Y a-t-il une raison particulière qui vous a poussé à écrire sur les thèmes tels que l’espoir, l’amour et la richesse ?
Constant Ory : Je dirai oui. L’écrivain étant le témoin de son temps, se donne en cobaye pour échanger ses expériences avec ses semblables. Il est donc impératif pour moi de ne pas me taire sur certaines choses qui sont de nature à créer du flou dans l’esprit des terriens. Il y a certains qui, pour un rien, ont emprunté la voie du suicide. Je ne peux assister à cet état de fait d’une manière passive.

La Culture Plurielle : Selon vous, est-ce que tout un chacun peut accéder au monde de l’écriture ?
Constant Ory : Je pense que ça dépend de la mission de chacun de nous sur la terre. Au niveau de l’art, en effet, il y a certains qui sont prédestinés à la peinture, d’aucuns à l’écriture et d’autres à la musique. Je ne puis rester, en revanche, insensible face au talent de ces artistes qui réunissent en eux à la fois la musique, la peinture et l’écriture !
Ecrivez-vous avant tout pour votre plaisir personnel ou pour les autres ?
Constant Ory : Ecrire c’est transmettre un message à la fois aux autres et à soi. Il m’arrive souvent de remonter à mes premiers textes jusqu’à ceux du temps présent ; et ma foi, il faut dire que je découvre curieusement un pan de ce que je suis devenu, annoncé depuis des années.
La Culture Plurielle : Avant d’être auteur, vous avez d’abord été lecteur ? Pouvez-vous citer quelques noms de vos auteurs préférés ?
Constant Ory : C’est une liste non exhaustive. Pèle mêle, je citerai Marcel Pagnol, Camus, René Maran, Lamartine, Verlaine, Baudelaire, Tolstoï, Gandhi, Bernard B. Dadié, Mongo Béti, Camara Laye... Ce sont des auteurs qui ont marqué plus ou moins mon enfance, m’ayant pour la plupart influencé.
La Culture Plurielle : Un prochain ouvrage en préparation ?
J’en ai déposé quatre chez Edilivre, dont le premier vient de sortir. Il y a en attente un autre recueil de nouvelles Le vrai amour ne meurt jamais, un livre de témoignage Le guide pratique de la vie terrestre,  qui ont eu l’avis favorable du Comité de lecture d’Edilivre, et un roman d’amour Prisonnier du tourbillon de l’amour qui veut aussi suivre le cheminement De la nuit au jour Après quoi, j’essayerai de dépoussiérer tous mes premiers manuscrits qui ne demandent autre chose que leur réécriture.

Interview réalisée par www.lacultureplurielle.blog.spot.com.
Partager cet article
Repost0
12 août 2012 7 12 /08 /août /2012 10:45

Les extraterrestres, dit-on, sont des êtres qui viennent d’ailleurs. Leur présence sur notre planète a pour rôle de contrôler certains mouvements de va-et-vient des terriens entre la terre et le système stellaire ! Ils apparaissent eux-mêmes à ceux avec qui ils veulent avoir des contacts, une relation particulière. En ce domaine, plusieurs témoignages abondent. Des livres comme "Le Triangle de Bermudes" en parlent davantage. Mais depuis un certain temps un homme, brûlant tous les protocoles, a décidé de rendre public tout ce qui se disait tout bas concernant les Alliens ou si vous voulez les Extraterrestres. Il s’appelle Docteur Steven M. Greer.   De ses recherches depuis 1993, il en a retiré des informations inimaginables dignes des films de fictions et qui, pourtant, sont des réalités.   Docteur Steven M. Greer a pu recueillir des témoignages ici et là qu’il a conçus dans un livre paru en 2001, et traduit en français en 2004 (Cf. La Grande Tromperie). Philippe Alice qui est l’auteur de cet article paru dans le Magazine Magazine "SACRÈE PLANÈTE" – Août/Septembre 2006, ÈRE NOUVELLE Novembre, en parle davantage.  

Dans l’accident Nucléaire de Tchernobyl qui a été désastreux pour les populations habitant aux alentours et au-delà, il semblerait que ses effets auraient été encore plus dangereux pour l’Europe si les extraterrestres n’étaient pas intervenus au bon moment pour amoindrir leur progression. Selon un témoin oculaire, ce jour-là des OVNI avaient stationné et tourné incessamment autour du réacteur 4, cause de cette catastrophe !            

En remontant aux années 1985, je parlerai aussi de cet ambulancier Jean Miglère, qui à la suite d’un grave accident de la circulation où il se retrouva avec tous ses membres supérieurs et inférieurs sortis de leur orbite, il fut témoin de l’atterrissage d’un OVNI à partir duquel descendirent trois petits êtres verts ; qui, à l’aide d’un appareil, reconstituèrent son corps tel qu’il était auparavant. Pour témoigner de ce qu’il venait de vivre, il dut parcourir le monde entier pour véhiculer leur message dans un langage soutenu, lui qui n’avait que le niveau du CEPE ! Un jour, peut-être, rencontrerez-vous aussi un extraterrestre ? N’hésitez pas à nous faire votre témoignage !                  

                                                                                                                                                                             Constant Ory, écrivain.

Partager cet article
Repost0
12 août 2012 7 12 /08 /août /2012 10:33

 

 

 

 

Mein Kampf ou Mon Combat est un livre de 686 pages écrit par Adolf Hitler. La Collection présente a été éditée aux Nouvelles Editions Latines en 1934, traduit de l’Allemand par J. Gaudefroy – Demombynes et A. Calmettes.

Tiré à 25 exemplaires, cette œuvre n’avait jamais eu l’assentiment d’Hitler pour sa traduction en Français. Il a fallu l’audace des Editeurs des Nouvelles Editions Latines pour qu’elle ait cette matérialisation.

Ce passage tiré de l’avertissement des éditeurs ne vient que corroborer ce qui a été dit plus haut : « Nous avons pensé qu’il était d’intérêt national de passer outre à ce refus, quelles que puissent être pour nous-mêmes et pour la jeune maison que nous avons fondée les conséquences de notre initiative »... Courageuse initiative qu’il faut louer d’ailleurs de par sa coloration !

Subdivisé en deux parties, les Tomes 1 et 2, Mon Combat retrace intégralement la vie d’Adolf Hitler, depuis son enfance jusqu’à celle d’homme politique, l’un des plus célèbres que l’Allemagne ait connu, disparu mystérieusement…

 

 

 

 

Dans le chapitre premier entamant l’œuvre, Adolf Hitler nous parle  de son opposition à son père qui voulait coûte que coûte qu’il choisisse  le métier de fonctionnaire au détriment de ses propres aptitudes. Etant prédisposé pour la peinture et l’architecture, il ne voulait entendre rien d’autre que cela.

Nationaliste par la force des choses, il nous parle des raisons qui l’ont poussé à opter, à la longue, pour cette idéologie.

Grand lecteur, il lisait un peu de tout pour se cultiver dans tous les domaines. N’avait-il pas pour l’art de la lecture cette opinion expressive : « Je connais des gens qui lisent interminablement livre sur livre, une lettre après l’autre, sans que je puisse cependant dire qu’ils ont "de la lecture" ». Fin de citation.

Notre objectif en vous présentant ce livre, n’est pas d’entrer dans la profondeur de l’idéologie d’Hitler, mais de dire à nos lecteurs qu’il existe un livre intitulé « Mon Combat » écrit par un non moins célèbre homme politique de la deuxième guerre mondiale du nom d’Adolf Hitler, qui mérite d’être lu par toute l’humanité, à l’instar de chaque citoyen français.


Constant Ory, écrivain.

Partager cet article
Repost0
25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 10:35

Image-anthologie-Tendresse-et-Passion.jpgLes plus belles chansons du monde ont toujours eu pour coloration le mot « Amour ». Qui ne se rappelle la chanson sempiternelle « La maladie d’amour » fredonnée par tous les âges ! Et l’Anthologie « TENDRESSE ET PASSION » ne vient que corroborer cette assertion avec ces beaux poèmes d’amour qui la composent ?
Dans cette Anthologie, vous aurez  l’opportunité de découvrir 26 auteurs francophones, 26 auteurs francophones qui vous conduiront dans les méandres paradisiaques de l’Amour. La Culture Plurielle qui est un blog qui s’intéresse à la chose littéraire, a bien voulu à travers cette table ronde  sur cette œuvre incommensurable, magnifier l’Amour dans toute son essence. En avant-goût, la couverture de l’Anthologie vous plante dans ce décor d’Éden qui vous attend : La mer miroitant une belle rose étendue de tout son long sur la plage et à l’horizon un soleil pointant fièrement sa silhouette. L’horizon est le symbole du lointain, de l’intemporel, de l’inaccessible…,  Saint Valentin l’incarnation d’un homme, qui à travers ses nobles œuvres terrestres, nous a donné le vrai sens de l’Amour au-delà de l’amour  charnel…, l’amour éphémère.  Et la mer, le mystère, l’Amour orchestré par Dieu le Suprême, l’Omnipotent, l’Alpha et l’Omega !
L’œuvre commence par le poème « Donne-moi » de la poétesse française Michelle-Marie Borgelot : « Donne-moi l’émoi de l’amour /  Comme au premier jour. / La force quand mon corps m’abandonne ; / La sérénité de celui qui pardonne… », que lit Gazé Clovis d’une voix langoureuse, respectant toutes les articulations, sous des pluies d’applaudissements !
Autour de la table ronde nous avons Gazé Clovis, le poète aux mille guitares, homme de Droit, auteur de « LE NOBLE DANS LE BLEME ET LA CLOCHE DE L’UNITE »,  Leto Drigbé, Gestionnaire Administratif, amoureux de la poésie, Constant Ory, Comptable de formation, tombé sous les armes inoffensives de la poésie, haïssant depuis les chiffres, Auteur du recueil de poèmes « UN SOLEIL DANS TES LARMES… », faisant partie des 26 auteurs de l’anthologie « TENDRESSE ET PASSION »,  Kouakou N’indri, Instituteur, auteur du Syllabaire « APPRENONS A LIRE EN AFRIQUE ».
La culture plurielle : Pour vous qu’est-ce que l’amour ?
Gaze Clovis : L’amour anoblit les rapports humains. L’amour enjolive. L’amour rapproche. L’amour épanouit. L’amour est une sève nourricière de la cohabitation humaine comme le sang l’est pour l’organisme. Là où s’assemblent deux ou plusieurs personnes l’amour doit y régner pour l’harmonie de la société. Les difficultés existentielles sont aplanies grâce à l’amour. L’amour concourt à l’épanouissement humain.
Leto Drigbé : L’amour est un sentiment qui pousse un être humain à avoir de bonnes pensées pour son prochain. Ce sentiment nous amène au pardon, à l’acceptation de l’autre.
Constant Ory : L’Amour vrai est un tout. Enlevez une lettre au mot Amour et vous verrez ce que ça donne comme résultat. Aimer est quelque chose d’inexplicable qui n’a aucun lien avec la raison. Il se vit, c’est la rencontre avec Dieu à travers un être de sexe opposé, l’oubli de soi pour l’autre et vice-versa, la plus grande alliance dans notre vie terrestre.
Kouakou N’indri : L’amour, c’est l’affection qu’une personne a pour son prochain.
La culture plurielle : Dans l’anthologie « Tendresse et Passion », quel est le poème qui vous a le plus marqué ? Lisez-nous quelques vers.
Gazé Clovis : En poésie, il n’y a pas de préférence. Tous les poèmes contenus dans l’Anthologie TENDRESSE ET PASSION sont d’égale beauté. Ils ont été pensés par leurs auteurs. Ils y ont mis ce qu’ils ont en leur mémoire de plus clair, de plus lucide mais aussi de plus vague. Ce qui est à retenir est que chaque poème a ses caractéristiques. Le lecteur trouvera son goût dans les textes poétiques présentés par l’ouvrage. Les auteurs doivent être remerciés autant que l’éditeur. Le choix est donc difficile parce qu’en portant un choix sur un tel ou un tel poème, je pense que c’est dénier ou blâmer certains auteurs qui se sont donné la peine à les concevoir, à les créer, à les enfanter.
Leto Drigbé : Dans l’anthologie le poème qui m’a le plus marqué c’est celui intitulé « VENUS », dont je lis ces extraits : « Vénus, je suivrai tes sillons / Quand j’entendrai chanter le grillon. / Au rythme de tes pas lents / Je te grincerai mon talent… ».
Constant Ory : Tous les poèmes de l’anthologie sont beaux. Alors que faire, je vais ouvrir les pages au hasard et lire quelques vers. Je tombe sur le poème « MON AMOUR …INTERDIT » de la poétesse Esmeralda Poupoin : « Dans le silence de la nuit, / Je pense à toi…/ Jamais je ne pourrai oublier tes yeux dans les miens / Jamais je ne pourrai  oublier tes mots d’amoureux, / Qui ont métamorphosé mon lointain regard triste dans ce noir où j’étais… »
Kouakou N’indri : Le poème Didadi de Constant Ory est celui qui m’a le plus marqué à travers ces vers expressifs : « Tes ampoules d’une luminosité dévorante / J’ai tenu longtemps ton image dans ma main / Et compris / Pourquoi ton corps en se trémoussant / Faisait  / Dida / Dadi / Didi / Dans la nuit obscure ».
La table ronde poétique s’est terminée par quelques poèmes lus par les uns et les autres. Les sons d’une guitare lointains semblaient accompagner ces amoureux fous de la poésie. Puissent les poèmes de l’Anthologie « TENDRESSE ET PASSION » à travers les poétesses et poètes tels que : Michelle-Marie Bodin-Bougelot, Linda Gnoka, Arielle Alby, Aminata Kané, Marjolaine Goué (Holy Dolorès), Esmeralda Poupoin, Christelle Lafont, Josiane Carole Gnoka, Valérie Moya Lobabie, Mehdi Takoust (Armée de l’Air), Josué Guébo, Tayeb Herchi, Bill Oxo, Abdou Simon Senghor, Essy Z. Ebony, Arsène Ablo, Cédric Marshall Kissy, Max Tan, Serge Blé, Aimé Comoé, Vincent Atchoumou, Judicaël Guépié, Ange N’Da Kouamé, Immac Adokan Kouadio, Nicaise N’Guessan, Constant Ory, guider tous les amoureux de la planète terre à ne voir  qu’une seule image, l’image de leur amour, affrontant les plus grandes tempêtes, les plus grands ouragans pour monter sur les hauteurs de VENUS, la planète de l’Amour !
Table ronde organisée par le blog : www.lacultureplurielle.centerblog.net pour le compte de OverBlog.

Partager cet article
Repost0